LA DEULE ET SES ABORDS DES ANNEES 80 A NOS JOURS QUESNOY RETROUVE SA DEULE

« lieu planté de chênes », c'est la signification du toponyme « Quesnoy ». Il y a de nombreux lieux en France dénommés « Quesnoy ». Nous sommes « QUESNOY-SUR-DEULE ».

La Deûle, c'est donc ce qui nous distingue. C'est notre identité. Quesnoy est née de la Deûle. Depuis des siècles, la rivière a guidé l'organisation de son territoire et a rythmé sa vie. Au 20ème siècle, de rivière, la Deûle est devenue canal.

Le cours de la Deûle a connu de nombreux aménagements : recoupements, élargissements, approfondissements, pour des gabarits de bateaux de plus en plus grands. Au 19ème siècle, et pour une grande partie du 20ème siècle, la Deûle a fixé des industries, facteurs de pollution. Après les destructions de la guerre 1914-1918, la mairie a quitté le bord de Deûle pour être reconstruite au-delà de l'église. La Deûle était peu accessible et était plutôt repoussoir.

A partir des années 1990, la mise au gabarit de la Deûle aux 1350 tonnes a causé contraintes et tracas pour la ville et ses habitants mais a offert l'opportunité d'aménager la « coulée verte de la Deûle « , de multiplier les accès à la Deûle à partir de la ville, de créer des parcs, de l'habitat en bord de Deûle. La ville se réoriente vers sa Deûle. Quesnoy retrouve sa rivière. Ce diaporama illustre cette histoire.